Besoin d'aller à la librairie | PV Zac

Je venais enfin de trouver ce qu'il me fallait! Ouf... Depuis le temps que je devais avoir ces livres, bon faut dire qu'il n' était pas vraiment intéressant à mes yeux, c' était pour le lycée. Mais au moins j'aurai la conscience tranquille, je n'aurais pas besoin à trouver une excuse au professeur de biologie pour lui expliquer pourquoi je n'avais pas les livres en questions; surtout que je ne sais pas du tout mentir, ça se voit tout de suite... Bref, j'allai à la caisse et paya mes achats, une fois cela fait, vu qu'il était tard, je ne voulais pas tarder plus à Port Angeles, Charlie se demanderait où j' étais passée. En sortant, je m'aperçut qu'il faisait déjà nuit, je pensais pas que j'étais resté aussi longtemps... Je commença à me dépêcher, marchant vite pour retrouver ma voiture, une Chevrolet rouge. Avant d' y parvenir je devais passer par des petites ruelles, qui là n'étaient presque pas éclairées vu que le soleil s' était déjà couché. Alors que je pressait le pas, car cet endroit était plutôt inquiétant, je vis une silhouette devant moi. Je ralentie, essayant de voir qui c' était mais il faisait trop noir, seul la silhouette m'indiquait que c' était un homme.

Zac marchait dans les ruelles sombres sans but précis. Quelque chose l'avait pousser à venir faire un tour ici, mais il ne savait pas quoi. Le jeune agissait toujours avec instinct, ce qui pouvait parfois le mettre dans des situations ambarassantes. Surtout que dans le cas présent, il n'y avait absolument rien dans cette rue. Elle était complêtement déserte, on n'entendait même pas le souffle du vent. Appuyer contre un reverber qui n'éclairait plus depuis longtemps, le jeune fouilla dans la poche de sa veste à la recherche d'un bonbon. Manger une cochonerie le détenderais et si dans cinq minutes il ne se passait toujours rien, il rentrerait chez lui.

Après tout il avait l'air inoffensif, vu qu'il restait toujours au même endroit, et ça se trouve que ma présence l'importait peu. Je continuais à marcher en espérant que je ne le regretterai pas, mais il n'y avait aucune raison d'avoir d'avoir peur, je n' étais pas une fille peureuse, mais depuis que je connais l'existence réelle des vampires, c'est vrai que je me méfiais. Alors que je marchais vers l'individu, des voix me firent oublier sa présence, je regardais derrière moi, au bout de la rue qui était bien mieux éclairée là où se trouvait un groupe de jeunes. Sur le moment, je n'avais pas fait attention, mais lorsqu'ils m'interpellèrent, je compris que c' était ceux de la dernière fois. En effet, c' était dans la soirée, alors que je voulais rentrer chez moi, ces jeunes avaient sûrement l'intention de me violer, enfin d' après ce que m' avait laisser comprendre Edward, qui peut lire de la pensée des gens; qui était venu à temps. Mais là, j'étais bel et bien seule.... Je commença à accélérer le pas pour gagner ma voiture le plus rapidement possible.

- Hey ! Tu ne devrait pas traîné ici toute seule, c'est dangereux

Ils avaient bien vu que j'avais accéléré le pas, et ils firent de même. Quand la silhouette qui était en face de moi, commença à bouger, regardant dans ma direction, enfin c' est ce que je pensais. Je le confirma, quand l'homme en question me parla, me disant que je n'avais rien à faire ici. Ca je le savais, et ça cela qui allait m'aider pour m'en sortir. Et c' était de ma faute, j'aurais dû vérifier l'heure. Je lui répondit.

- Merci, je sais...

Je continuais toujours à marcher dans la même direction, enfin je courais à présent.

La jeune fille, une lycéenne apprement, répondit rapidement qu'elle le savait et préssa un peut plus le pas. Zac n'y comprenait pas grand chose, mais alors qu'il allait faire demi tour, il remarqua que les types bisares s'étaient rapproché, de toute évidence, ils n'avaient pas remarquer sa présence. Il suivit des yeux la jeune fille, essayant de regarder dnas quelle direction elle allait, il espérait qu'elle serait rapidement chez elle,c ar cette bande de mec ne lui inspirait aucune confiance. Ils avaient l'air de vouloir préparer un mauvais coup. Il recracha son bombon, et referma sa chemise, attendnat de voir.

Je me dépêcha, mais je fus surprise qu' à la fin de la rue, une autre ruelle perpendiculaire s'y trouvait. Ce n' était pas du tout le bon chemin, et faut dire que j'avais toujours tendance à me perdre, et là c' était le cas. J'avançais doucement, il faisait tellement noir, et puis je ne pouvais pas faire demi-tour.... Le groupe se rapprochait de plus en plus de moi.

Zac attendit que la lycéenne est disparue au coiin de la rue, car il était certain qu'elle y serait en en sécurité. Une fois que ce fut le cas, il fit demi tour et quitta la rue à l'oposée d'elle. Là, il se dirigea vers sa voiture. C'était pénible que tout soit aussi silencieux, et surtout qu'il soit aller dans ce coin pour rien. En plus, il commençait à pleuvoir ! Génial, ce patelin avait vraiment tout pour plaire. Zac entra dans sa voiture et mit le chauffage à fond. Il avait les doigt complêtement gelé, d'être rester immobile pendant aussi longtemps.

Franchement, je ne voyais aucune issue, ils s'approchaient de plus en plus et moi je restais tétanisée sur place à les regarder se diriger vers moi. Crier peut-être? A quoi cela servirait, tout était désert ici. Il fallait pas rêver Edward n' allait pas arriver à chaque fois que quelque chose m'arriverait. La seule chose à laquelle je pensais c' était ma famille : Renée, Charlie, Dean & Sam. C'est vrai que ce n'était pas approprié mais il valait mieux que je pense à ça qu'aux vices des garçons en face de moi qui se voyait rien qu' à leurs regards

Il attendit quelques minutes, que la voiture soit réchauffer, avant de demarer. Dans le fond, il se demandait ce qu'il lui avait prit d'aller se perdre dans se trou perdu. Il n'y avait rien, il ne se passait rien. Et pourtant, on lui avait dit que toute sorte de choses s'y produisait. Le jeune homme était là depuis deux mois, et mise à part des accident de la circulation ou des cambriolages, il n'y avait rien de surnaturel. Mais la vraix raison était qu'il avait le sentiment que monstre responsable de la mort de ses parents se trouvait dans le coin.

J'avais fermé les yeux, non pas pour prier, car ce n' était pas du tout mon genre, juste en redoutant ce qu'il allait m'arriver. Quand tout à coup j'entendis un grognement derrière moi ce qui me fit sursauter, les rires et les remarques des jeunes qui se trouvaient devant moi, maintenant plus proche, c' étaient tus. Je me retournais les yeux bien grand ouverts cette fois ci, je ne voyais rien, il y faisait trop sombre, et ne je remarqua que peu de temps après un regard dirigé vers moi. Ce n' était pas un homme loin de là, les yeux étaient bien trop énormes et d'un vert non habituel. Cela devait bien être une bête, quoi ? Impossible à définir le grognement ne s'entendait plus, il restait seulement qu'une respiration rapide et bruyante d'un animal qui vient de courir.
J' étais tétanisée et je restais plantée là, les autres s' étaient enfui en courant et en hurlant de peur....

Le jeune homme traversa la rue qu'il venait de longer à pied. Elle était toujours aussi déserte, aussi sinistre. C'était d'un ennuie. Il allua sa radio préféré, ou passait des vieux classique de jazz. Et alors qu'il s'apprétait à tourner, il vit le groupe de gigolos s'enfuir en courant. De toute évidence, ils étaient mort de trouille. Zac frénna et arréta son véhicule avant d'en sortir. Il ouvrit son coffre et en sortie une arme. Il venait de passer en mode chasseur, et avait deviner que ce qui avait effrayer ces types ne devait rien avoir d'humain. A moins que la fille de toute à l'air soit plus costaud qu'elle n'en avait l'air.

Je reculais à présent, regardant la bête en face, je ne voulais pas faire de mouvement brusque ni violent pour ne pas la surprendre. Je ne savais pas comment j' allais m'en sortir, j' étais seule, complètement seule, sans que mes frères viennent me sauver. J' attirai le mal, c' était peut-être le temps, la fin, mon heure? Je ne voyais aucune issue possible qui s'offrait à moi... sauf la mort douloureuse.....

- Sa vas, tu n'as rien ?

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