Première journée. Bella

Et voilà, le premier jour de cours était arriver. La mère de Vanessa lui avait proposer de l'accompagner au lycée, mais elle avait décliné l'offre, et avait préférer prendre son vélo. Un cadeau que son père lui avait offert, il y a deux ans. La brunette portait une jupe en jean, un peut trop courte, mais elle n'avait pas eut le temps de vider tout ses cartons, elle avait donc prit la première fringue qui lui tombait sous la main. En haut, elle avait un simple débardeur noir et un petit gilet bleu ciel par dessus. A ses pieds, une paire de balerines. Une fois prête, elle grimpa sur son velo et pedalla jusqu'au lycée, une boule au ventre. Elle se rendit compte très vite que sa tenue n'était pas vraiment approprié au temps qu'il faisait, mais c'était trop tard. Elle alla sans tardé se mettre au chaud à l'intérieur des qu'elle fut arriver à son nouveau lycée.

Une journée ordinaire à Forks, je venais de me réveiller et j'avais remarqué qu'il ne faisait pas du tout beau ce matin là, en même temps, j' étais habitué! J' alla me prendre une douche rapidement vu qu'il faisait froid et je m'habilla comme d' habitude, un simple jean, avec un gilet marron. Je descendis à la cuisine, préparer le petit déjeuner pour Charlie et moi, qui ne tarda pas à descendre d'ailleurs. Je lui dis bonjour, mangea rapidement et pris ma Chevrolet pour aller au lycée. Je n'avais qu'une hâte, voir Edward!! voilà la cause de ma rapidité!! Il pleuvait beaucoup! On ne voyait presque rien sur la route, après quelques minutes, j'arrivai devant l' établissement. Il n'y avait personne dehors, ils devaient être tous déjà à l'intérieur et à l'abris. Je me gara et parti en courant vers l'entrée pour éviter d' être trempée.

Quand Vanessa arriva au lycée, elle était trempée comme une soupe. On aurait pu crorie qu'elle sortait de la douche. Elle devait faire peur à voir. Ses cheveux pendait autour de son visage, alors qu'elle les avaient soigneusement fait bouclé et que ça lui avait prit du temps. Sans compter qu'avec sa petite jupe, elle grelottait de froid. Oui, ici, c'était pas comme Los Angeles. Elle poussa la porte de l'établissement et entra, tout les regard se posèrent sur elle. En même temps, vu sa tenue s'était pas étonnant. Elle sentie le rouge lui monter aux joue et alors qu'elle faisait un pas, elle glissa et s'étalla de tout son long sur le sol mouillé. Quelle honte !

On était tous compressé dans le hall, il y avait tellement de monde! On arrivait même pas à circuler. J' essayais de me frayer un chemin, en essayant de me prendre le moins de sac possible dans la figure ou autre... En plus, tous étaient trempés et je servais de serviette si l'on put dire, j'étais encore plus mouillée vu qu'ils se frottaient à moi. Ces jours là, je les détestais!! bref, Quand j' arrivai à dépasser la foule, j' arrivais à mieux respirer, étant donner que je n' étais pas compresser entre plusieurs élèves, c'est là que j'aperçus une jeune femme brune, que je n'avais jamais vu auparavant, étalée par terre...
La pauvre, elle avait dû se faire mal, et certains crétins se moquaient d'elle, comme d'habitude et comme la plus part des élèves de ce lycée, ils étaient complétement immatures et bêtes!
Je soupira en les regardant, et m' approcha de la brunette, qui était encore par terre.

- Ça va? Rien de cassé?

lui dis-je une fois accroupie à côté d'elle.

Je l'aida à se relever

- Je crois que oui, j'ai mal dans le poignet

Bon sang, il fait toujorus aussi beau ici ?

La jeune femme avait l' air contrarié, ce n' était pas son jour! Elle me confirma qu'elle était nouvelle vu son dégoût pour la météo de Foks, elle devait être originaire du Sud, paraissant aimer le soleil et vu sa couleur de beau qui était bien bronzée. Heureusement qu'elle n' était pas si lourde, je n'eus aucun mal à la relever.J'aurai cru qu'on avait inverser les rôles, normalement c' était moi la fille empotée qui trébuchait à longueur de journée et que l'on ramassait par terre.

- Oui, et c' est comme ça presque tous les jours...

lui dis-je en soupirant.

Si tu veux je peux t'emmener à l'hôpital? L'infirmière d'ici est là une fois sur quatre et n'est pas très efficace.

- Génial, c'est le paradis

- J'en sais rien, te sents pas obligée tu sais, mais merci quand même.

La brunette était de plus en plus embarrassée, j'en concluais qu'elle avait été sûrement contraintes de venir avec ses parents ici, car aucun adolescent comme nous serez venu pour son petit plaisir personnel à Forks. Je pense qu'elle s'y fera, comme moi d' ailleurs, c'est juste les premiers jours..

- Tu verras, tu t'y habitueras vite, c'est une question de temps. Je sais ça a été pareil pour moi!

Elle ne voulais pas m'embêter, mais au contraire, ça ne me gênait pas du tout. C'est comme elle le sentait elle, si elle pouvait tenir toute la journée, surtout sans que ça s' aggrave.

- C'est comme tu veux, et ça ne me dérange pas du tout, si je te l'ai proposé..

- Sa j'en suis pas trop sûr.

Apparemment, elle devait avoir envie de rester seule, elle avait de nombreux regrets, et valait mieux pas que je m' occupe de ses affaires. Elle avait l'air si... triste... Ça faisait mal au cœur. Et elle en voulait beaucoup aux personnes qui l'avaient obligé à venir ici, c'est sûr, Fork n' était pas le paradis, bon j'avoue que moi ce n' était pas loin... mais bon, j' étais l'exception à la règle et c' était différent.

- Je vais te laisser, je vais pas te déranger davantage,

lui dis-je avec un petit sourire gêné

- Oh, mais tu ne me dérange pas. C'est juste que je suis de meilleure compagnie d'habitude.

J' étais désolée pour la jeune femme, elle était complétement attristée, et le pire c'est lorsque j' aperçus ses larmes. Cela me déclencha une douleur dans la poitrine, je m' approcha d' elle mettant une main amicale sur son épaule. De l'autre je lui essuyais ses larmes.

- Ne t'inquiète pas, je te comprends, mais tu n'es pas seule... Bon je sais que je ne suis pas l' amie rêvée, mais si jamais t' as besoin de quelque chose, je suis là.

- T'es déjà là, c'est l'ensentiel. Mais j'ai du laisser ma meilleure amie, et mon copain pour venir dans ce patelin. Sa me fait mal, mais je m'y fait, seulement, avec ce temps stupude, ça me démoralise.